Bonsoir chers amis du Rosaire. Lundi prochain, le 9 décembre, nous aurons la fête liturgique de l’Immaculée Conception célébrée habituellement le 8 décembre ; comme cette année le 8 décembre tombe un dimanche, la célébration dominicale prime sur la fête mariale qui sera célébrée le lendemain.
Ce soir nous allons méditer les mystères joyeux du Rosaire en portant dans notre prière les Équipes Notre-Dame, fondées par le père Henri Caffarel pour la sanctification de l’amour conjugal. Deux couples membres des Équipes Notre-Dame à La Réunion sont avec nous dans le studio de radio Arc-en-ciel. Par ailleurs, je suis depuis 7 ans conseiller spirituel d’une équipe Notre-Dame et du Secteur de La Réunion.
Le père Henri Caffarel est aussi à l’origine du CPM (Centre de préparation au mariage) et du CLER (Centre de formation à l’amour du couple, à la sexualité et à la parentalité responsable). Les Équipes Notre-Dame sont en quelque sorte « le service après-vente » du CPM.
Les Équipes Notre-Dame ont commencé à exister à partir de 1939 à la demande de plusieurs couples qui aspiraient à vivre la sainteté dans le mariage. Le père Caffarel leur avait dit : « Cherchons ensemble ». Humble et respectueux, le père Caffarel a quitté sa fonction de conseiller spirituel des Équipes en 1973 pour se consacrer à la prière, 23 ans avant son départ vers Dieu le Père en 1996.
Les Équipes Notre-Dame existent sur les 5 continents. Dans l’océan Indien, elles sont présentes à La Réunion, à l’île Maurice et bientôt à Madagascar qui compte sur deux équipes en formation.
Les papes ont toujours soutenu ce Mouvement de spiritualité conjugale : Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul II et à présent François.
Chaque Équipe comprend 4 ou 5 couples et un prêtre conseiller spirituel qui n’en est pas le responsable ni l’animateur mais un équipier qui partage sa vie spirituelle avec les couples. Loin d‘être une charge ou un poids supplémentaire pour le prêtre, sa mission de conseiller spirituel représente une richesse et une force dans la fraternité baptismale avec les couples. Il donne et il reçoit ; il reçoit plus qu’il ne le pensait au commencement de son entrée dans le Mouvement.
Prenons maintenant la croix de notre chapelet pour marquer notre corps du signe de l’amour fort et fidèle de Jésus pour nous.
Tous : Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.
Credo. 3 Ave Maria. Gloria.
Premier mystère joyeux : l’Annonciation de l’ange Gabriel à Marie.
De l’évangile selon saint Luc 1, 37-38 : « L’ange déclara à Marie : Rien n’est impossible à Dieu. Marie répondit alors : Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole ! Et l’ange la quitta ».
Le concubinage devient une pratique habituelle. Pourquoi ? Les femmes avouent souvent préférer le mariage mais elles reconnaissent que leur compagnon n’en veut pas. De leur côté, les hommes bottent en touche en disant ne pas trop savoir pourquoi rester en concubinage. L’engagement dans le mariage civil et encore davantage dans le mariage religieux sacramentel semble relever d’une mission dangereuse voire impossible à réussir. Les divorces et les conflits familiaux que l’on connaît viennent renforcer la crainte de l’échec. Qu’est-ce que le mariage changerait dans une vie commune ? Pourtant, nous savons bien que ce n’est pas la même chose de dire « je t’aime » en privé que devant sa famille ou devant le maire ou à l’église, en présence de Dieu.
« Rien n’est impossible à Dieu », a dit l’ange Gabriel à Marie. Impossible aux yeux de l’homme et de la femme mais possible à Dieu.
A la mairie, les époux s’engagent devant le maire selon le code de droit civil. En l’église, les époux ne s’engagent pas devant Dieu mais en Dieu car Dieu ne fait pas nombre avec le couple. Dieu en est la source, la sève et le fruit de leur amour.
En réalité, nous ne connaissons que les réalités envers lesquelles nous nous engageons. Un prêtre qui dirait « je veux bien accomplir les fonctions sacerdotales mais sans engagement en tant que prêtre » ne serait pas pris au sérieux. Amour rime avec toujours.
Le mariage relève de la vocation. Il s’agit d’un appel de Dieu et d’une mission à l’image de l’Annonciation de l’ange Gabriel à Marie.
Marie n’a pas dit « oui » tout de suite ; elle a posé des questions : « comment cela se fera-t-il ? ».
L’engagement du mariage est précédé d’un temps de discernement et de liberté que nous appelons « fiançailles ». Comment savoir que le partenaire que la personne que l’on vient de découvrir avec émotion et émerveillement sera le bon époux ou la bonne épouse ?
Le discernement nécessaire pour faire le bon choix passe par le dialogue, la prière, la durée dans les difficultés, l’avis de la famille et des proches et en dernier lieu par la clarté de l’Esprit Saint dans l’âme et dans la relation.
Le poète Rilke de déclarer : « Si quand tu commences à faire une chose, tu peux en faire une autre, laisse tomber, on ne fait rien sans passion ». Il arrive un moment où le choix s’impose intérieurement dans sa maturité par l’expérience et par la grâce.
Dans les Équipes Notre-Dame, les couples apprennent à écouter et à s’exprimer, dans la lumière de la Parole de Dieu, en communauté et dans la prière conjugale et familiale.
Prions pour tous les couples, heureux ou dans la douleur, que l’Esprit Saint les éclaire, les purifie et les fortifie dans leur amour.
Notre Père. Ave Maria. Gloria.
CD Sylvie Buisset chante Thérèse. N°3. Ma joie.
Deuxième mystère joyeux : la Visitation de Marie à sa cousine Élisabeth.
De l’Évangile selon saint Luc 1, 39s : « En ces jours-là, Marie partit et se rendit en hâte vers la région montagneuse, dans une ville de Juda. Elle entra chez Zacharie et salua Elisabeth. Et il advint, dès qu’Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, que l’enfant tressaillit dans son sein et Elisabeth fut remplie de l’Esprit Saint. »
Aimer, c’est l’extase, c’est-à-dire la sortie de soi, selon l’étymologie grecque. Marie, habitée par le Saint-Esprit qui a engendré en son sein Jésus, sort de sa maison pour rendre service à sa cousine Elisabeth, femme âgée, qui est enceinte de Jean le baptiste.
Ce que l’on appelle amour risque de devenir de « l’égoïsme à deux ». Les Équipes Notre-Dame favorisent l’ouverture des couples à la vie sociale et ecclésiale. La réunion d’équipe, qui a lieu une fois par mois autour d’un dîner et à partir d’un petit livre de formation chrétienne, met chaque couple en lien avec d’autres couples. Cette petite vie communautaire régulière apporte un dynamisme certain à la relation conjugale menacée par le repli sur soi et des besoins immédiats.
Le Magnificat chanté par Marie lors de la Visitation a été retenue comme la prière de référence par les Équipes Notre-Dame qui au terme de chaque rencontre prient ensemble en communion avec Marie ce cantique de louange : « Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur ».
Les Équipes Notre-Dame rassemblent des couples. La réunion d’équipe représente une rencontre mensuelle importante et vivifiante.
Marie et Elisabeth se sont rencontrées, rencontre de deux femmes, rencontre avec Dieu présent dans le sein de Marie.
Le but de la prière est l’acquisition du Saint-Esprit. Marie, qui portait en elle Jésus lors de la Visitation, a été la source de la grâce de l’Esprit Saint pour Elisabeth et pour l’enfant porté dans son sein qui a tressailli d’allégresse en entendant la voix et la salutation de Marie.
La rencontre de ces deux mères, Marie et Élisabeth, est devenue la rencontre de Jésus et de Jean baptiste. Les bonnes rencontres apportent de la joie. L’Esprit Saint réunit les croyants et les comble de joie.
Le père Henri Caffarel, fondateur des Équipes Notre-Dame, avait reçu le charisme de la communication. Aux mariés qui se plaignaient de l’égoïsme de leur conjoint, le père Caffarel répondait que le véritable problème se trouvait dans la non-connaissance du conjoint. Il a innové en proposant aux couples de prendre rendez-vous régulièrement pour échanger en profondeur, dans le respect et la liberté. Ce rendez-vous est appelé « le devoir de s’asseoir ». Les conjoints s’assoient dans un climat de calme et de prière, sans la présence des enfants, sans bruit ni télévision en marche. Chacun met l’autre à l’aise pour s’exprimer : est-ce que ça va ? ; y a-t-il quelque chose qui te dérange ? ; qu’est-ce que tu souhaiterais ? L’échange peut être difficile ou heureux. En tout cas, le but est d’éviter les non-dit, véritables bombes à retardement, cellules « cancéreuses » qui se reproduisent rapidement et qui aboutissent aux mauvaises paroles ou à de gestes violents. « Ce qui rassemble le couple est plus grand que ce qui le sépare », ce proverbe s’avère juste dans la communication bienveillante et priante.
Prions pour les Équipes Notre-Dame à La Réunion, à Madagascar et dans l’océan Indien.
Prions pour les prêtres conseillers spirituels dans les Équipes Notre-Dame.
Notre Père. Ave Maria. Gloria.
CD Sylvie Buisset chante Thérèse. N°4. Pourquoi je t’aime.
Troisième mystère joyeux : la naissance de Jésus à Bethléem
De l’Évangile selon saint Luc 2, 8s : « Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit. L’ange du Seigneur se tint près d’eux et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa clarté ; ils furent saisis d’une grande crainte. Mais l’ange leur dit : « Soyez sans crainte, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple : aujourd’hui vous est né un Sauveur, qui est le Christ Seigneur, dans la ville de David. Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche ». Et soudain se joignit à l’ange une troupe nombreuse de l’armée céleste, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et sur la terre paix aux hommes objets de sa complaisance ! ».
La prière occupe une place centrale dans les Équipes Notre-Dame. La prière silencieuse, appelée oraison, permet à chaque conjoint de s’enraciner en Dieu grâce à ce cœur à cœur d’intimité avec Jésus. La prière conjugale, qui semble s’avérer difficile à vivre par le couple, montre l’alliance vécue avec Dieu et avec le conjoint ; chacun recevant Dieu à travers l’autre et cherchant à accomplir la volonté de Dieu dans l’entraide et l’amour réciproques. La prière familiale avec les enfants rassemble et elle favorise l’unité, que ce soit la prière du matin et du soir, la participation commune à la messe, la bénédiction de table. La lecture de la Parole de Dieu nourrit la foi et renouvelle les pensées et le contenu des échanges de manière à éviter l’ennui et l’oisiveté mère de tous les vices.
La prière, force surnaturelle, apaise et illumine la vie familiale.
Prions pour la paix dans les familles et dans le monde.
Notre Père. Ave Maria. Gloria.
CD Sylvie Buisset chante Thérèse. N° 7. Aimer c’est tout donner.
Quatrième mystère joyeux : la Présentation de Jésus au Temple et la Purification de Marie
De l’Évangile selon saint Luc 2, 21s : « Lorsque furent accomplis les huit jours pour sa circoncision, il fut appelé du nom de Jésus, nom indiqué par l’ange avant sa conception. Et lorsque furent accomplis les jours pour leur purification, selon la Loi de Moïse, ils l’emmenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon qu’il est écrit dans la Loi du Seigneur : Tout garçon premier-né sera consacré au Seigneur, et pour offrir en sacrifice, suivant ce qui est écrit dans la Loi du Seigneur, un couple de tourterelles ou deux petites colombes. »
L’Évangile nous présente trois actions importantes dans l’enfance de Jésus : le choix du prénom, la consécration à Dieu et l’offrande.
Tout d’abord, le nom de Jésus correspond à la volonté de Dieu ; son étymologie manifeste la mission de Jésus : « Dieu sauve ». En espagnol, Jésus reste un prénom de garçon et associé à Marie un prénom de fille : Marie-Jésus ». Avant de choisir un prénom, il convient de prier l’Esprit Saint. L’Église demande que lors du baptême le candidat à la nouvelle naissance reçoive un prénom en lien avec la Bible et l’histoire de l’Église. Il est triste de constater que le choix des prénoms des enfants relève parfois des feuilletons américains ! Dans la Bible, le prénom désigne la destinée.
En deuxième lieu, les parents de Jésus, Joseph et Marie, ont consacré Jésus à Dieu étant le premier-né et en accord avec la Loi de Moïse. Le baptême chrétien représente une consécration à Dieu et dans ce sens tous les baptisés sont des consacrés. Le baptême étant la plus haute consécration à la Trinité sainte : « Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».
L’offrande faite par Joseph et Marie correspond à l’offrande des pauvres. Pauvres mais non misérables, Joseph et Marie offrent au Temple deux petites colombes. L’offrande faite dans les églises manifeste la foi et la participation aux frais du culte. Il arrive que certaines personnes peu pratiquantes disent que « l’Église est riche » tout en profitant de la générosité et du bénévolat d’autres chrétiens. Ceux qui servent humblement l’Église par les services de nettoyage, accueil et de formation catéchétique ne disent pas que « l’Église est riche ». L’Église c’est eux et ce sont eux qui la font vivre. Non sans humour, nous pouvons citer aussi la phrase de ceux qui ne donnent rien le jour de la célébration d’un sacrement : « Mon père, je passerai vous voir dans la semaine » ; ils ne passent pratiquement jamais !
Rendons gloire à Dieu pour les prénoms chrétiens que nous avons reçus au baptême ; prions pour nos parents, pour notre parrain et pour notre marraine et pour le prêtre ou le diacre qui nous a baptisés.
Soyons fiers de notre consécration baptismale à Dieu.
Vivons notre fraternité baptismale dans la fidélité et la solidarité.
Notre Père. Ave Maria. Gloria.
CD Sylvie Buisset chante Thérèse. N°6. Dans le cœur de l’Église.
Cinquième mystère joyeux : Jésus parmi les docteurs de la Loi au temple de Jérusalem
De l’Évangile selon saint Luc 2, 46s : « Il advint, au bout de trois jours, qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs, les écoutants et les interrogeant ; et tous ceux qui. L’entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses. A sa vue, ils furent saisis d’émotion, et sa mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Voix ! ton père et moi, nous te cherchons angoissés. » Et il leur dit : « Pourquoi donc me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père ? Mais eux ne comprirent pas la parole qu’il venait de leur dire. »
Ce passage de l’Évangile nous montre le couple bien uni de Joseph et de Marie. Ensemble, ils ont cherché Jésus qui n’était pas dans la caravane de retour de Jérusalem à Nazareth après la fête de la Pâque juive. Marie met en valeur son époux Joseph, père adoptif de Jésus : « ton père et moi, nous te cherchons angoissés ». Marie ne dit pas : « Les hommes sont tous des irresponsables ; ils ne s’occupent de rien ». Marie apprend le respect à Jésus. Marie aime Joseph ; Joseph aime Marie. Ils partagent leur foi, leur travail et l’éducation de l’enfant Jésus.
Pour Jésus, Dieu est son unique Père : « Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père ? » ; Joseph accomplit fidèlement sa mission de père adoptif, en prenant soin de l’enfant. C’est par Joseph que Jésus sera appelé « Messie », descendant de la tribu du roi David. C’est grâce à Joseph que Jésus a grandi en sécurité et qu’il a reçu un métier, celui de charpentier-maçon, ferronnier.
L’Esprit Saint s’est uni à Marie pour engendrer Jésus. En tant que père adoptif de Jésus, Joseph a eu accès au mystère divin d’une manière unique à travers son épouse, Marie, et il a bénéficié d’une grâce et d’une proximité uniques avec Jésus, Fils de Dieu fait homme. Joseph a participé au mystère de l’Incarnation, autrement que Marie qui a vécu ce que les théologiens appellent « union hypostatique, c’est-à-dire une union à la nature divine de Jésus par sa maternité humaine qui lui donne d’être appelée « Mère de Dieu ». Jésus a reçu son humanité de sa mère Marie et non de son père adoptif Joseph. Jésus ne ressemble qu’à sa mère. Jésus, avec sa nature divine et sa nature humaine, garde une communion exceptionnelle avec Marie qui lui a donné sa nature humaine à jamais.
Marie et Joseph n’ont pas tout compris à l’avance. Ils n’ont cessé de comprendre le mystère de Jésus. C’est pourquoi Marie est appelée bienheureuse parce qu’elle a cru au message de l’ange Gabriel. La connaissance de Jésus relève de la foi. Marie est modèle de foi, foi absolue, sans péché, comme l’Église le célèbre dans le mystère de l’Immaculée Conception.
Marie, comblée de grâce dès l’instant de sa conception dans le sein de sa mère, Anne, épouse de Joachim, a grandi dans la foi, l’espérance et la charité, sans péché, par une grâce qui venait par avance de la mort et de la résurrection de Jésus.
Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus disait qu’elle avait été « pardonnée par avance », par grâce, ce qui l’avait protégé de beaucoup de chutes. « Tout est grâce ».
Prions pour les Équipes Notre-Dame qui sont sous le patronage de l’Immaculée et pour tous ceux nombreux qui ont l’Immaculée pour patronne : Madagascar, la Corse, l’École biblique de Jérusalem fondée par le père Lagrange, dominicain, l’école Immaculée à Saint-Denis …
Notre Père. Ave Maria. Gloria.
CD Sylvie Buisset chante Thérèse. N° 12. Ta Face.
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Prions le Seigneur : Seigneur Dieu, tu as préparé à ton Fils une demeure digne de lui par la conception immaculée de la Vierge, que tu as préservée de tout péché par une grâce venant déjà de la mort de ton Fils ; à son intercession, accorde-nous d’être purs, nous aussi, et de parvenir jusqu’à toi. Par JC …
La prière de ce soir a été animée par
Odile et Philippe, Gérald et Maryse, Lauviette, Ginette, Henri à la technique et moi-même le frère Manuel, dominicain.
Bénédiction :
Annonces. Fête de saint François-Xavier, patron du diocèse.
CD Sylvie Buisset chante Thérèse. N° 14. Tu nous aimes Marie.
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